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"Nous ne sommes pas tous égaux face aux addictions", Dr. Vabret

 

 

En effet, nous avons pu voir tout au long de notre recherche que nos différences physiologiques sont à l'origine de résistances ou de prédispositions. Nous l'avons vu et détaillé précédemment, le génotype peut être à l'origine de ces différences. Des facteurs polygéniques peuvent rendre plus vulnérable à la création d'une addiction, à la cocaïne notamment. D'autres gènes ont pour effet de compliquer voire d'inhiber le métabolisme de l'alcool, le rendant intolérable pour certaines personnes. Il existe également des différences physiologiques entre hommes et femmes qui permettent l'explication d'effets différents selon le sexe.

 

Cependant, cela ne peut tout expliquer, les addictions étant des phénomènes complexes, pas encore totalement compris et expliqués. Il faut également tenir compte des facteurs socio-environnementaux, car la création d'une dépendance ne peut-être expliquée sans prendre en considération son contexte. 

 

Nous voulons remercier nos professeurs, M. Fontaine et Mme. Viel, qui nous ont accompagnés et aidés tout au long de notre recherche et de notre création.

Nous tenons aussi particulièrement à remercier le Docteur Vabret, chef du service addictologie au CHR de Caen, qui nous a rencontré et consacré de son temps pour répondre à nos questions. Grâce à son expérience et ses explications, nous avons pu aboutir à ce travail.  

Freudenberger Mathis

Cap Etienne

Rollet Antoine

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